Teodor Dume, Antologie, aforisme
Aphorismes roumains d'aujourd'hui,Edițions,Stellamaris,Francecoordinateur principal - Ionuț Caragea
traducteur - Constantin Frosin
préface - Jean-Paul Gavard-Perret
Teodor Dume, journaliste, écrivain et poète roumain (né le 04 avril 1956, à Luncasprie, Bihor). A fondé, en 1990, et dirigé en tant que directeur général, le journal Ecoul (L’Echo). Avec Stelian Vasilescu (et d’autres) a fondé, en 1990, la revue de culture Țara Crișurilor d’Oradea, 3e édition. A été directeur général de l’ensemble artistique Ecoul Tinereții (L’Echo de la Jeunesse) d’Oradea. A travaillé pour le Conseil Départemental des Syndicats de Bihor en tant que directeur du Club Înfrățirea (Fraternité) d’Oradea, qu’il a fondé en 1986. A partir de juin 1991, a travaillé pour la Maison de la Culture des Syndicats d’Oradea, en tant que directeur adjoint. Durant la période 1992-2013 a été directeur général du Sc. Club Teo Dume S.R.L d’Oradea.
Membre de l’Union des Ecrivains Européens, membre de l’Association des Ecrivains de Langue Roumaine du Québec, membre fondateur de WARM – l’Association Mass-media des Roumains de par le Monde, membre du Conseil Honorifique International Reţeaua Literară (le Réseau Littéraire), rédacteur de la revue Algorithme littéraire (2010) etc. Auteur de 16 recueils de poésie et aphorismes. Co-auteur pour 31 anthologies. Il a remporté de nombreux prix littéraires.
La critique littéraire roumaine le considère comme l’un des écrivains roumains contemporains les plus profonds et originaux.
*
C’e unst tout juste la pierre du gouffre d’un puits qui peut parler de la douleur de l’eau.
*
Plus on se rapproche de la vérité, plus on apparaît comme plus puissant aux yeux des autres.
*
S’il pouvait avoir ne fût-ce qu’une aile, l’homme pourrait égratigner le ciel.
*
L’entourage est simplement une grotte, où seuls peuvent respirer ceux qui l’habitent.
*
Ne prodigue pas de conseils d’escalade d’une montagne, si tu n’en as pas encore atteint le sommet.
*
Il est des fois où l’amour est l’arme la plus puissante de l’humilité.
*
Si toutes les douleurs se limitaient à une seule larme, on deviendrait très, très pauvres.
*
En l’absence de l’amour, on ne saurait pas même se dépasser soi-même.
*
L’âme de l’humain est toute pareille à l’amour, elle ne vieillit au grand jamais.
*
La sagesse mûrit, sans pour autant vieillir.
*
Quand on n’a plus de corps, on peut être n’importe quoi, ça n’a plus aucune importance.
*
LA FOI – notre seul soutien pendant notre passage sur terre.
*
La foi vous aliène des faux amis, mais vous rapproche de Dieu et de vous-même.
*
Le brouillage – deux coeurs défiant le silence.
*
La peur de l’enfer ne doit pas être le fouet qui vous mène vers la foi, mais la peur de soi-même.
*
L’amour devient une maladie incurable, seulement quand on ne sait le traiter respectueusement.
*
Si l’on n’aime pas le jardin de grand-mère, c’est qu’on a mal passé son enfance.
*
L’enfance est un conte auquel on croit seulement à l’âge adulte.
*
Toute larme a son histoire et moi je suis dans chaque histoire.
*
La vie – un labyrinthe où nous nous cachons de nous-mêmes.
*
Les enfants ne reviennent au sein de la famille que lorsqu’ils ont „froid”.
*
La foi est le remède de la compatibilité entre le corps et l’âme.
*
L’homme est le seul de taille à identifier et déchiffrer le code de la trahison.
*
La vie se mesure par le temps, et la durée de notre absence - par la mort.
*
Il est bien triste de regarder en arrière et de ne voir rien de rien.
*
Un coeur sec ressemble à s’y méprendre à un ténébreux coucher de soleil.
*
La veillesse incarne la grandeur de tous vos accomplissements.
*
L’amour est le langage commun de tout ce qui est vivant.
*
Un sourire peut colorier même les visages des autres.
*
Le brave homme est heureux alors même qu’il se réjouit du bonheur autrui.
*
Quelle triste et incommode vérité que de voir le désert de son âme.
*
La vie empêchée de suivre son cours, ressemble à un moulin déconnecté de sa source.
*
L’effondrement dans la mort est le sens unique de l’existence.
*
Sois toi-même, ainsi seulement pourras-tu démontrer que tu existes.
*
On cosmétise sa vie tous les jours pour se démontrer à soi-même qu’on existe.
*
On ne saurait acheter l’intelligence, mais simplement son produit.
*
Quand le sage se tait, son geste devient une improvisation philosophique.
*
Ce qui fait la différence entre un prêtre et un mendiant, c’est la main que chacun d’eux vous tend.
*
L’homme est une vérité que peu nombreux sont ceux qui savent apprécier.
carte
Membre de l’Union des Ecrivains Européens, membre de l’Association des Ecrivains de Langue Roumaine du Québec, membre fondateur de WARM – l’Association Mass-media des Roumains de par le Monde, membre du Conseil Honorifique International Reţeaua Literară (le Réseau Littéraire), rédacteur de la revue Algorithme littéraire (2010) etc. Auteur de 16 recueils de poésie et aphorismes. Co-auteur pour 31 anthologies. Il a remporté de nombreux prix littéraires.
La critique littéraire roumaine le considère comme l’un des écrivains roumains contemporains les plus profonds et originaux.
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C’e unst tout juste la pierre du gouffre d’un puits qui peut parler de la douleur de l’eau.
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Plus on se rapproche de la vérité, plus on apparaît comme plus puissant aux yeux des autres.
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S’il pouvait avoir ne fût-ce qu’une aile, l’homme pourrait égratigner le ciel.
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L’entourage est simplement une grotte, où seuls peuvent respirer ceux qui l’habitent.
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Ne prodigue pas de conseils d’escalade d’une montagne, si tu n’en as pas encore atteint le sommet.
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Il est des fois où l’amour est l’arme la plus puissante de l’humilité.
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Si toutes les douleurs se limitaient à une seule larme, on deviendrait très, très pauvres.
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En l’absence de l’amour, on ne saurait pas même se dépasser soi-même.
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L’âme de l’humain est toute pareille à l’amour, elle ne vieillit au grand jamais.
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La sagesse mûrit, sans pour autant vieillir.
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Quand on n’a plus de corps, on peut être n’importe quoi, ça n’a plus aucune importance.
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LA FOI – notre seul soutien pendant notre passage sur terre.
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La foi vous aliène des faux amis, mais vous rapproche de Dieu et de vous-même.
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Le brouillage – deux coeurs défiant le silence.
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La peur de l’enfer ne doit pas être le fouet qui vous mène vers la foi, mais la peur de soi-même.
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L’amour devient une maladie incurable, seulement quand on ne sait le traiter respectueusement.
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Si l’on n’aime pas le jardin de grand-mère, c’est qu’on a mal passé son enfance.
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L’enfance est un conte auquel on croit seulement à l’âge adulte.
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Toute larme a son histoire et moi je suis dans chaque histoire.
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La vie – un labyrinthe où nous nous cachons de nous-mêmes.
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Les enfants ne reviennent au sein de la famille que lorsqu’ils ont „froid”.
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La foi est le remède de la compatibilité entre le corps et l’âme.
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L’homme est le seul de taille à identifier et déchiffrer le code de la trahison.
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La vie se mesure par le temps, et la durée de notre absence - par la mort.
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Il est bien triste de regarder en arrière et de ne voir rien de rien.
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Un coeur sec ressemble à s’y méprendre à un ténébreux coucher de soleil.
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La veillesse incarne la grandeur de tous vos accomplissements.
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L’amour est le langage commun de tout ce qui est vivant.
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Un sourire peut colorier même les visages des autres.
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Le brave homme est heureux alors même qu’il se réjouit du bonheur autrui.
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Quelle triste et incommode vérité que de voir le désert de son âme.
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La vie empêchée de suivre son cours, ressemble à un moulin déconnecté de sa source.
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L’effondrement dans la mort est le sens unique de l’existence.
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Sois toi-même, ainsi seulement pourras-tu démontrer que tu existes.
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On cosmétise sa vie tous les jours pour se démontrer à soi-même qu’on existe.
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On ne saurait acheter l’intelligence, mais simplement son produit.
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Quand le sage se tait, son geste devient une improvisation philosophique.
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Ce qui fait la différence entre un prêtre et un mendiant, c’est la main que chacun d’eux vous tend.
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L’homme est une vérité que peu nombreux sont ceux qui savent apprécier.
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